Source qui fut utilisée par Lucie Jousson pour l'hospice qu’elle fit construire au Mollendruz en 1882 ainsi que pour abreuver le bétail des anciens pâturages situés aux alentours.
Le Col du Mollendruz, point de passage fréquenté depuis des siècles par commerçants, contrebandiers et voyageurs, a vu naître un hospice pour offrir un refuge aux passants. Ce lieu de repos et de restauration, mentionné pour la première fois en 1860, jouissait d'une situation idéale et ne manquait jamais de clients. C'est à Lucie Jousson, surnommée la Zazie, que l'on doit l'auberge telle qu'on la connaît aujourd'hui, construite en 1882. Pendant une vingtaine d'années, jusqu'en 1901, elle en fut l'âme et la tenancière. L'auberge était dépourvue d'eau courante. L'eau récupérée du toit alimentait une citerne, mais en été, lorsque les pluies se raréfiaient, il fallait s'aventurer en forêt jusqu'au puits.
Arrivée | Arrêt «Mollendruz, col» |
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